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Archive for the ‘Zanskar’ Category

Un permis d’ascension est désormais nécessaire, en Inde, pour gravir les sommets dépassant 5500 m. Entrée en vigueur ce printemps, cette nouvelle disposition de l’Indian Montainneering Foundation (IMF) avait provoqué une réaction hostile des agences du Ladakh, jugeant cette mesure « inapplicable » au Pays des cols, en raison de l’altitude et de la lenteur de la procédure d’obtention. L’ouverture d’un bureau de l’IMF au début de l’été à Leh met fin aux polémiques et les premiers contrôles sur les sentiers menant aux « trekking peaks » ont débuté.

La nouvelle procédure

Depuis la fin mars, L’Indian Mountaineering Foundation (IMF) a annoncé l’ouverture de 113 nouveaux sommets dans l’Himalaya indien, pour doper la fréquentation des trekkeurs et des alpinistes. À cette occasion, une nouvelle procédure d’obtention du permis d’ascension a été mise en place : plus besoin d’établir un visa spécifique (« X » visa), un simple visa touristique suffit. En contrepartie, il est dorénavant obligatoire de passer par l’IMF pour tout sommet dépassant 5 500 m. Avant l’ouverture du bureau IMF de Leh, les délais posaient des problèmes aux Ladakhis. « De nombreux sommets entre 5 500 et 6 500 m sont situés sur des itinéraires de trekking, à une journée de route de Leh et 4 ou 5 heures du camp de base. Et vous devez vous y prendre trois mois à l’avance pour gravir ces montagnes, qui se grimpent en 4 heures ! » protestait notamment P.T. Kunzang, le vice-président de l’association des tour-opérateurs du Ladakh (ALTOA). Auparavant, le « X » visa pouvait s’obtenir en trois ou quatre jours depuis Leh

Un bureau de l’IMF à Leh

L’ouverture d’un bureau de l’IMF (Airport Road à Leh) vient de débloquer la situation puisque, à titre d’exemple, il ne nous a fallu que deux heures pour obtenir le précieux sésame le 18 août dernier. Cette demande peut-être effectuée individuellement mais sera évidemment plus efficace par l’intermédiaire d’une agence locale, en mesure d’obtenir un permis même en dehors des heures d’ouverture du bureau. Côté tarifs, il faut compter 2 000 Rs (40 €) pour un 6 000 m et environ 15 000 Rs (300 €) pour des sommets de plus de 7 000 m comme le Nun (7 135 m) ou le Kun (7 087 m). Si la tentation d’effectuer l’ascension sans permis vous venait à l’esprit, sachez que des contrôles sont intervenus le 21 août 2007 sur le sentier menant au Stok Kangri (6 153 m), près de Leh, avec des amendes s’élevant à 15 000 Rs (200 €). À mûrir…

Ouverture ?

Concernant la requête de l’ALTOA, qui se plaignait que seulement 14 sommets avaient été autorisés au Ladakh ce printemps, à comparer avec les 50 pics ouverts en Garwhal-Kumaon et 44 en Himachal Pradesh, le maréchal Rautela, venu inaugurer le bureau de l’IMF à Leh, a évoqué l’ouverture de « 100 nouveaux sommets » l’année prochaine au Ladakh. L’État indien réfléchirait-il à l’ouverture de nouveaux secteurs au tourisme, les premiers depuis l’ouverture de la Nubra et du lac Tso Moriri en 1994 ?

Source : Trek Mag
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« Doper la fréquentation des trekkeurs et des alpinistes » qu’ils disent !
C’est surtout un moyen rapide, facile de gagner de l’argent et de remplir les caisses de l’IMF ! Et comme les trekkeurs, les alpinistes sont riches, les indiens ont vite vu qu’ils paieront sans sourciller.

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Les énergies renouvelables au service du développement socio-économique

Terre d’accueil du bouddhisme tibétain, montagnes sacrées de l’inde, invitation au rêve pour les trekkeurs.
Pour les habitants des hauts plateaux de l’ouest himalayen, les montagnes les plus hautes du monde sont aussi le lieu quotidien de rudes conditions d’existence : températures en dessous de -30°C, précipitations limitées, végétation rare, routes et cols fermés pendant sept longs mois de gel.

Les populations rurales de ces déserts froids d’altitudes ne disposent que de très peu de ressources naturelles pour sortir de l’extrême précarité et du grand isolement dans lequel elles vivent. Mais avec plus de 300 jours d’ensoleillement par an, les régions du Ladakh et de l’Himachal Pradesh peuvent largement recourir à l’énergie solaire passive pour amorcer leur développement socio-économique. Un moyen relativement simple à mettre en oeuvre et économique qui allie efficacité énergétique et respect de l’environnement.

En 2005, l’Inde occupait le 127ème rang mondial sur l’échelle de l’indicateur de développement humain du Programme des Nations Unies pour le Développement. Et l’Himalaya indien, plus encore que le reste du pays, souffre de cette grande précarité. L’espérance de vie y est de 45 ans, et le taux de mortalité infantile de 80 pour 1000.
Dans l’Himachal Pradesh et le Jammu et Cashemire, 82% de la population vit en dessous du seuil de la pauvreté avec moins de 0.7 € par jour. Ces très faibles revenus essentiellement issus de l’agriculture ne leur permettent pas de satisfaire les besoins les plus essentiels : alimentation diversifiée,chauffage, soins médicaux, éducation.
A l’origine de cette situation : le manque de ressources énergétiques qui paralyse ces régions durant la longue période d’hiver.
Sous l’effet de la température extérieure, les activités agricoles et artisanales sont fortement ralenties d’octobre à mai. Les routes sont bloquées par les chutes de neige et les marchés aux alentours ne sont approvisionnés que par voie aérienne. Les prix des produits importés des plaines indiennes doublent voire triplent. Les légumes, la viande et les combustibles deviennent inaccessibles à la plupart des ménages. L’économie locale s’en trouve également perturbée. Les familles en milieu rural concentrent alors tous leurs efforts pendant l’été. Durant cette période, les femmes collectent les bouses de vaches dans les pâturages et les stockent pour les utiliser plus tard comme combustibles de chauffage et de cuisson des aliments.

Dans les zones de moyenne altitude entre 2800 et 3500 m, c’est également durant la période estivale que les familles cultivent leur champ – surface souvent inférieure à 0,3 hectare. Limitée à une récolte par an, cette agriculture de subsistance se focalise sur la culture du blé et de l’orge pour se nourrir pendant le long hiver.

Lire la suite : la lettre CO2 Solidaire – N°2 – 1er semestre 2006

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Pourboires ?

Les pourboires sont hautement appréciés, et pour ainsi dire ancrés dans la culture locale car ils sont aussi une forme de partage des richesses.

Notre trek va durer environ 11 jours et il faudra partager le montant total entre 3 ou 4 personnes : le guide, le cuisinier, et 1 ou 2 muletiers (helpers, horseman).

Voici quelques indications communiquées par Sylvain Lenglart qui est actuellement guide-accompagnateur au Ladakh :

– guide : entre 1500 et 2000 roupies
– cuisto : entre 1500 et 2000 roupies
– helpers: entre 500 et 1000 roupies
– horseman: 500 roupies

Ces montants sont à titre indicatif et ne sont pas par personne, mais pour l’ensemble du groupe.

Il  n’est nullement obligatoire. Tout dépend bien sûr de notre satisfaction, le pourboire sert à remercier le staff.

Avec 50 roupies pour un euro, cela ne va pas chercher bien loin, et cela permet d’entretenir le bon souvenir…

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Ce guide réalisé par Jean-Louis Taillefer – qui est aussi le webmaster du site http://ladak.free.fr/index.html – devrait vous donner tous les éléments pour préparer un voyage au Ladakh, depuis les formalités auprès de l’ambassade (page 18) et les réservations de vols, d’hôtels et de treks, jusqu’aux possibilités d’hébergement et de restauration dans chaque village, ainsi que tous les moyens de transport existant avec leur fréquence, leur durée et leur prix.

  • L’arrivée à l’aéroport de Delhi, qui est redoutée par les nouveaux venus en Inde, a été particulièrement détaillée. Un plan de la sortie de l’aéroport indique où se trouve la banque avec le meilleur taux de change, où prendre la navette gratuite pour l’aéroport national, le guichet le moins cher des taxis pre-paid et les bus pour le centre ville. Tous les prix ont été relevés en octobre 2006. (page 30)
  • Un plan de Paharganj et un plan du métro devraient aider à trouver un hôtel et à se déplacer dans Delhi, en plus des incontournables rickshaws.
  • La description des différents itinéraires et des différents moyens de transport pour rejoindre Leh, et en revenir, a été complétée. Toutes les solutions sont envisagées : (page 27)
    soit en avion directement, soit en bus via Manali ou Srinagar ou Dharamsala, ou bien en train jusqu’à Shimla, et toutes les combinaisons possibles entre l’avion, le train, le taxi et le bus.
    (Les adresses des sites indiens (en anglais) sur lesquels on trouve les horaires et les prix des trains et des avions, mis à jour en temps réel ont été remises à jour. Elles vous aideront à aménager un circuit personnalisé, ou même à préparer un autre voyage)
  • Un plan du centre de Leh permet de situer les hôtels, guesthouses et restaurants du centre ville, ainsi que les banques, les distributeurs de billets et la poste.
  • Pour chaque région du Ladakh – Sham, Stod, Purig, Nubra, Dhahanu, Rupshu, ChangThang et Zanskar-, un plan permet de situer chaque village offrant une curiosité intéressante avec les différents moyens d’accès (horaires, durée et prix des transports), et les moyens d’hébergement et de restauration qu’on peut y trouver. (pages 87 et 88)
  • Les dates des grandes cérémonies des monastères du Ladakh et du Zanskar sont toutes données pour vous éviter de rater ce spectacle si vous êtes dans les environs au bon moment.
  • Plusieurs itinéraires de trek sont décrits avec les emplacements de camp, les ravitaillements et hébergements possibles, et les temps de marche :
    – la Grande Traversée du Zanskar : Darcha-Padum-Lamayuru, (pages 177 à 179)
    – le trek du Sham, ou tour du Sham : Likir-Khaltsé ou  Likir-Temisgang-Alchi,
    – le préféré des agences : la vallée de la Markha,
    – le trek des lacs : Rumtse-Tso Kar-Tso Moriri,
    – un trek avec des paysages très variés : Lamayuru-Chilling, ou Lamayuru-Alchi avec un col difficile.
  • Un paragraphe explique le sens des principaux symboles bouddhiques communs à tous les monastères, (page 147) sans toucher à la philosophie bouddhiste qui fait l’objet de milliers d’ouvrages spécialisés.
  • En fin d’ouvrage, des tableaux recensent les hôtels, guesthouses et agences de voyage de Leh avec leur adresse, leur n° de téléphone et leur e-mail quand il existe.
    D’autres tableaux donnent les horaires et les tarifs des bus et des taxis. (page : 224)
  • Le guide est illustré de nombreuses photos en noir et blanc, et de 10 pages de photos couleurs.

Source : Ladakh free.fr 

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 Tchadar, la rivière gelée.

Ce parcours mythique risque de disparaître avec la construction de la « Tchadar road « . Cette route arrive maintenant (hiver 2002) à Chilling et, à terme, devrait relier Nimo à Padum. Les travaux avancent à coup de dynamites et de bulldozers.

Extrait de la lettre d’ AMZ [Aide médicale au Zanskar]
Bulletin d’information n° 3 – novembre 2003

A la lecture de l’article « Une route Chandigarh-Leh : la première pierre a été posée »,    paru le 13 août 2002 dans Daily Excelsior, il ressort clairement que la construction de cette route alternative n’a pas pour unique but le développement socio-économique de la région.

Quel est l’état d’avancement du chantier ?
L’obstacle est colossal, les risques sont légion – c’est ici que se joue le désenclavement du Zanskar.

Voir aussi

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SHGUne grande diversité de produits fins et chauds en laine

Les femmes transforment les laines de moutons et de yaks, aussi bien que le précieux et célèbre pashmînâ .
Selon la matière première disponible dans le village et les traditions de la région, elles créent une grande variété de produits, tels que : chapeaux, chaussettes, chandail, châles, cache-nez, tapis, chaussures locales, vestes locales, sacs…

Les conceptions sont faites la plupart du temps à grâce aux laines de différentes couleurs (blanc, gris, noir) et tricotés en teintures naturelles . Vous trouverez ces produits avec le logo commun de SHG.

Un choix de plats naturels et savoureux, préparé dans la tradition ladakhie

Dans la marque du projet, les femmes élaborent des produits délicieux et sains, faits à partir des ressources locales et moissonnées dans les villages…

Découvrez et appréciez la tradition ladakhie :

– L’abricot, le trésor de fruit du Ladakh…

Les abricots secs, riches en goût et en énergie
La confiture d’abricot, au goût fruité naturel pour un déjeuner complet

– Produits sains de l’argousier, riches en vitamines et antioxydants
L’argousier (rhamnoïdes L. de Hippophae) ou tsestalulu est un petit buisson qui donne les baies oranges mûres en septembre au Ladakh. Ces baies sont parmi les plus nourrissantes et riches en vitamines de fruits de tout le royaume végétal. Les fruits, les feuilles et les graines contiennent une concentration élevée de vitamines C, A, B1, B2 et E, et ont une activité antioxydante de 93%. Tous les produits dérivés des baies de l’argousier – confiture, jus, thé, huile, etc. – ont des propriétés de régénération et de protection.

Jus de Tsestalulu, pour se recharger après de longues marches et pour vivre sainement
Thé de Tsestalulu, pour devenir serein

Source (en anglais) : geres.india

En savoir plus

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A Phrasebook for Learning Ladakhi by Rebecca Norman.
Published By: Melong Publications of Ladakh (2001).
Email: melong1@sancharnet.in

Getting Started in Ladakhi is an indispensable guide for every traveller who visits our land as friends of Ladakh, more than just a tourist.

As a phrase book it gives you not only the commonly used vocabulary and phrases for different situation in the market, in villages and on treks, etc, but goes a step further to guide you in the dos ad don’ts of Ladakhi culture and manners.

As a beginner’s language book it presents the alphabet, grammar and pronunciation in an easy manner, avoiding complicated technical terms. Ladakhi script is used alongside English, which helps in situation where your pronunciation is not understood.

Finally, it serves to bring you closer to Ladakhis and facilitates interaction, without which your visit to Ladakh would be little more than a visit to a museum or a zoo.

Source : Reach Ladakh

En attendant, voici un « Petit lexique Ladakhi », trouvé sur le site de Roland Ghigny.

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ISECUn article et une petite brochure utiles à lire :

For Visitors to Ladakh
Quelques directives pour les voyageurs se rendant au Ladakh

Source : International Society for Ecology and Culture – The Ladakh Project

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Le mardi 4 septembre 07, Françoise Dupuis, Catherine Mayer, Viviane Nicolay, Colette Vanandruel, Yves Hamaide , Manu Kodeck et Philippe Pigeolet s’envoleront pour l’ Inde du Nord, au Ladakh et le Zanskar.

Après quelques jours d’acclimatation à Leh (3 600 m), la bande des sept belges commencera un trekking de Lamayuru à Padum.

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Dernière formalité : le visa touristique pour l’Inde

– remplir le formulaire de demande de visa et y attacher deux photos d’identité;
– remettre votre passeport et le formulaire au guichet de l’ambassade de l’Inde, Chaussée de Vleurgat 217 à 1050 Bruxelles (entre 9h30 et 12H00).
File d’attente possible, patience !
– prix : 50 €
– quelques jours après, retirer votre passeport avec le visa à l’ambassade, uniquement entre 17h et 17h30′

Un rappel des contraintes

Nous pouvons voyager avec un bagage de soute de 20 kg et un bagage de cabine de 9 kg.
Si jusqu’à présent des dépassements étaient tolérés, actuellement ces règles sont parfois strictement appliquées.
Il est donc important de respecter ces poids maxi et tout excédant (s’il est accepté) sera à votre charge.

Nouvelles règles de sécurité de l’UE dans les aéroports

QU’Y A-T-IL DE NOUVEAU ?

Pendant que vous faites vos bagages

Vous êtes uniquement autorisé à emporter de petites quantités de liquides dans votre bagage à main. Ces liquides doivent se trouver dans des contenants individuels d’une capacité de 100 millilitres chacun. Vous devez mettre ces contenants dans un sac en plastique transparent et rescellable mesurant approximativement 20 x 20 cm .

À l’aéroport

Afin d’aider les agents de sûreté à trouver les liquides, vous devez :

– présenter tous les liquides que vous transportez aux agents de sûreté des points de contrôle de sécurité ;
– sortir de votre bagage à main, les ordinateurs portables et tout autre appareil électrique de grande taille. Ils seront contrôlés séparément pendant que vous serez vous-même contrôlé.

Sont compris sous le terme « liquide » :

– le contenu des contenants sous pression, y compris les mousses à raser et autres mousses
– l’eau et les autres boissons, les soupes, sirops et déodorants
– les crèmes, lotions et huiles
– les pâtes, y compris les dentifrices
– les parfums
– les mélanges solide-liquide
– les sprays ou brumisateurs
– le mascara
– les gels, y compris les gels pour cheveux et les gels douche
– tout autre objet de consistance identique

QU’EST-CE QUI NE CHANGE PAS ?

Vous pouvez toujours :

– mettre des liquides dans les valises (le bagage de soute) que vous enregistrez (les nouvelles règles ne touchent que les bagages à main) ;
– transporter dans votre bagage à main, les médicaments et les aliments dont vous avez besoin pendant le vol, tels que la nourriture pour bébé. Vous serez peut-être appelé à fournir des preuves de leur nécessité ;
– acheter des liquides tels que des boissons et des parfums, soit dans un aéroport de l’UE lorsque vous vous trouvez au-delà de l’endroit où vous montrez votre carte d’embarquement, soit à bord d’un avion d’une compagnie aérienne de l’UE. S’ils sont vendus dans un sac spécial scellé, n’ouvrez pas celui-ci avant d’avoir été contrôlé ; dans le cas contraire, il est possible que le contenu soit confisqué au point de contrôle. (Si vous effectuez un transfert à un aéroport de l’UE, n’ouvrez pas le sac avant d’être contrôlé à votre aéroport de transfert, ou au tout dernier aéroport si vous êtes transféré plus d’une fois).

Nouvelles règles de sécurité dans les aéroports (format PDF)

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aaz.jpgConférence Isabelle Riaboff.
Ethnologue spécialiste du Zanskar.

Il est de bon ton de présenter le Zanskar contemporain dans les médias, les agences de voyages… comme un pays totalement isolé géographiquement, sans contact avec l’extérieur et qui serait resté jusqu’ici hors du temps, de l’histoire, inaltéré, authentique.
Image d’Epinal d’un pays vivant en autarcie.
Cette image est fausse tant aujourd’hui que par le passé. Cela étant, il est vrai que les changements s’accélèrent aujourd’hui où le maître mot qui est désormais sur toutes les bouches est celui de « gyurtchès » transformations. Nous allons donc explorer les grands changements qui ont marqué le Zanskar au fil des décennies, en matière politique et sociale, ainsi que sur les plans matériel et économique.

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– Introduction
– Panorama politique et sociétal
– Seconde moitié du XXe siècle : émergence d’une nouvelle donne économique
– Transformations sociales
– Transformations religieuses
– Le Zanskar et l’ouverture sur le monde

Source : Extrait de Lettres du Zanskar, Bulletin d’information de l’association AAZ – Juin 2007 n°30.

En savoir plus (parcourir aussi la rubrique magazine) :

Le Ladakh du futur
Un article de Jérôme Saglio, paru dans Grands Reportages n° 298 – novembre 2006 – Himalaya: Royaumes oubliés

Les enjeux du tourisme au Ladakh : un succès embarrassant
Une enquête de Stéphanie Thizy, paru dans Roadbook vol.1 Himalaya – septembre 2006

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